Ana Isoux

Ana Isoux, mezzo-soprano

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Premiers Prix de flûte à bec et musique de chambre de la ville de Paris, elle joue en 2005 au Théâtre du Châtelet dans Pulcinello Hans Werner Henze, sous la baguette de Claire Gibault (flûte alto solo). Elle est à cette époque d’une timidité presque maladive. Sa rencontre avec le metteur en scène Jean-Hervé Appéré, avec qui elle ose monter sur les planches et se former à la commedia dell’arte, est déterminante : s’ensuivent près de 700 dates sur les routes de France et d’Europe en tant que chanteuse-comédienne.

Dans le même temps, elle poursuit des études de chant lyrique, participe à une master class de Teresa Berganza, et obtient son DEM avec les félicitations du jury.

Au sein de Comédiens et Compagnie, elle fut Deuxième Dame dans La Flûte enchantée, Chérubin dans Le Mariage de Figaro, Pénélope dans une adaptation de l’Odyssée et du Retour d’Ulysse de Monteverdi et joue actuellement Armande dans Les femmes savantes (Théâtre des Mathurins, Théâtre Tristan Bernard, Salle Gaveau, Grandes Ecuries de Versailles, l’Odyssud…).

Avec Opéra de bouche à oreille elle fut Rosine dans Le Barbier de Séville, Dorabella dans Cosi fan tutte et Flora dans La Traviata (Château de Courson, Théâtre du Château d’Eu…).

En tant que soliste (au sein du Street Chorus), elle chante dans la Mass de Leonard Bernstein avec l’Orchestre National de Lille dir. Alexandre Bloch (2018, Nouveau Siècle).

Également pianiste de formation, titulaire d’une maîtrise de musicologie en Sorbonne, elle a été chargée de cours à l’Université d’Evry-Val-d’Essonne.

Ana Isoux au garde à vous, veste et casquette militaire et parapluie bleu
Ana Isoux
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